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Le plus curieux de cette période de confinement qui s'achève et avant d'ouvrir sur je ne sais quoi, c'est que moins on en fait, moins on a envie d'en faire.
Je me suis demandé quoi écrire, peut-être quelque chose sur les "live" que l'on voit fleurir sur Facebook et sur Instagram. Le sujet me tente il y a de tout; un vide intersidéral autour du nombril de personnes qui n'ont d'importance que pour elles-même, mais aussi des pépites surtout lorsqu'il y a un effort participatif.
J'ai finalement préféré revenir à ce qui est fondateur pour moi, ma vraie vie de fétichiste du latex.J'ai retrouvé d'anciennes images d'un de mes tout premiers shootings avec Apoutine Choux. Je n'avais publié que deux images avant de me dire qu'il y en avait plusieurs autres d'inspirant; je veux dire par là plusieurs qui m'embarquaient dans mes fantasmes.
Alors à ces deux images j'ai ajouté ici la suite qui me paraît explicite.
Je me souviens parfaitement cette séance, l'une de nous toute première ensemble, elle comme modèle, moi comme photographe
. Je crois bien que c'est cette fois qu'elle m'a dit que désormais elle voulait que je sois également en latex lorsque je la shootais, ce qui m'a donné un bon coup de chaud. Nous avons fait beaucoup depuis et pour ce qui est des photos, nombreuses sont celles qui se sont terminées de la plus agréable façon.
Mais pas pour cette série, sans doute étions-nous encore timides.
Des trois séries de photos je partage aujourd'hui celle faite en bleu transparent, une belle catsuit intégrale de chez Libidex comme je les aime, car elle épouse les formes et laisse voir les tatouages.
Je la vois encore se lover le long des parois de la salle de bain, avec son regard mi éffarouché, mi-timide. Tirer le col de la catsuit et faire couler l'eau de la douche le long de son corps moulé et souple.
A ce moment j'aurais bien aimer me transformer en goutte d'eau pour glisser le long de sa poitrine et de ses hanches humides. A moins que je ne puisse me glisser à mon tour dans l'eau et faire lentement descendre le zip de la combinaison qui l'enfermait si bien...
Voici donc la série compète.
Source: FetishLover
Ecrire au sujet mon gout du fantasmagorique et fétichisme demande plus d'efforts qu'on ne l'imagine, il faut un peu de temps et d'imagination et au-delà de tout cela de l'envie qui m’avait longtemps quitté par excès sans doute de désillusions.
Et pourtant et c'est sans doute cela la passion, je n'ai rien oublié, rien abandonné et je ne regrette finalement pas grand-chose de plus de dix années de tribulations, d'amours avortés, d'amitiés remisées.
Je me suis enfermé dans un silence volontaire mais pas indifférent et pour les nombreux vrais amis qui me restent, je leur reste fidèles.
De tout ce temps que reste-t-il de ces stars connues ou moins connues qui nous étourdissaient dans leurs tenue en latex ? Eva Longoria en jupe noire léchant un fouet ? Lady Gaga en robe à frou-frou rouge saluant la Reine d'Angleterre, ? Lio au festival de Cannes ?
Et que reste-t-il de tous ces modèles qui faisaient les beaux jours de la scène fetish, ces Psylocke, Susan Wayland, Ancilia Tilia, Kay Morgan et les Miss Marquis France ?
Et que dire des soirées ? combien ont disparu, souvent à mon plus grand regret ou sont en voie de disparition, et il n'est pas certain que le Covid 19 n'ait raison des quelques-unes qui résistaient. Et que dire de toutes ces publications sur le latex devenues confidentielles et de ces photographes de ces créateurs? J'aurais l'occasion de revenir vers vous.
Peut-être, comme me le disait un ami fort averti, que le fétichisme de ces années 2000-2010 est moribond.
Mais mon propos d'aujourd'hui n’était pas dédié à cette nostalgie vieillotte, on a toujours tendance à penser que c’était mieux avant et souvent on fait erreur; je pense que le fétichisme se réinventera, il existe une relève il ne faut pas désespérer mais il y aura aussi un après-mars 2020.
Mes chers disparus vous êtes de ceux que j'ai croisés, en qui j'ai cru et si je n'ai aucune rancune je n'oublie rien et ce billet je te le dédie à toi mon "ami". S'il te prend la fantaisie de me lire je suis certain que tu te reconnaîtras.
Je me souviens de ton amitié chaleureuse lors d'une de ces soirées où je n'étais pas trop dans mon assiette; on y célébrait celle qui m'avait accompagné; que j'avais poussé sur le devant de la scène et qui me quittait. Nous avions passé du temps ensemble, sympathisé et j'avais un temps oublié ma peine.
Nous nous somme revus souvent, longtemps, soirées entre amis, soirées fetish privées, shooting, multiples rencontres.
J'aimais ces moments, même quand tu baisais les modèles avec lesquelles je faisais des photos, même quand tu débarquais avec ta moitié chez moi le moral en berne pour me parler de tes déboires sexuels et accessoirement photographiques avec tes modèles.
Tu y trouvais les lits faits et la table mise, tu pouvais fumer mon tabac et boire mon whisky . Je t'écoutais conter par le menu, comment celle-ci avait fini par écarter les jambes pour toi et ta femme et comment celle-là avait eu l'ingratitude de ne prendre cela que pour un jeu...
Et puis un jour tu m'as dit que tu ne souhaitais plus de cette amitié, car j'avais commis la faute de ne pas pouvoir t’héberger et te véhiculer gracieusement à une soirée parisienne pour laquelle tu avais fait l'avance des billets. La gratuité on s'y habitue vite et on oublie que certaines choses comme l'amitié n'ont pas de prix.
Tu fais partie de ce passé que je regarde sans trop de nostalgie, sans ressentiment et même avec une petite pointe d'ironie mais cela valait bien cet hommage avant de revenir à l'essentiel; le latex.
Pour illustrer ce billet j'ai choisi une image de la fin du Montréal Fetish Weekend de 2014. Pendant l'été la rue Sainte-Catherine se pare de guirlandes roses qui illustrent la liberté de mœurs et la fête qui anime cette belle ville. C'est toujours un pincement quand on la quitte et que les guirlandes de boules roses sont déposées comme après Noël et on se dit que peut-être on y reviendra même si rien ne sera pareil.
Source: FetishLover
Comme il y a de fortes chances, ou malchances que le German Fetish Ball soit repoussé cette année pour la raison que tout le monde imagine, autant penser à l'année précédente.
J'avais promis de publier mes photos intégralement sur mon blog ne serait-ce que pour en garder le souvenir, je le ferais peut-être aussi rétrospectivement d'anciennes images à l'époque où j'étais sollicité (un peu) pour être devant l'objectif.
Ces images ont été prises dans notre hôtel Berlin Berlin en mai 2019. Les modèles sont Apoutine et Faceless Toff, une belle personne dont j'aurais très certainement l'occasion de reparler. Je voulais faire des images de ces ailes étonnantes qui me font penser à un certain poème de Baudelaire...
Les photos ne rendent jamais l'imaginaire que l'on souhaite, mais j'aime les créatures déchues qui succombent dans leurs tenues moulantes; cela a toujours été dans mon imaginaire, c'est finalement un fil conducteur de certaines des scènes que je tente avec plus ou moins de bonheur de restituer. Mais finalement cette série ne me déplaît pas.
Source: FetishLover
C'est l'histoire romancée et édifiante de commerçants en lube. Ça ne devrait intéresser personne sauf que c'est du lube; et pour ceux qui ne savent pas ce qu'est le lube; c'est le lubrifiant naturel du latex. Autrement dit, le lube c'est un peu le pétrole du fétichiste. Il fait briller le latex, il lui permet d'enfiler les tenues les plus improbables, il contribue à son entretien et à sa protection, il augmente le plaisir de porter du latex... Bref le must !
C'est un commerce de niche mais multiplié par le nombre de fétichistes, de soirées et de confectionneurs ça peut vite devenir intéressant.
C'est ce qu'a bien compris Swip qui Brille, fabricant allemand, "historique", de lube depuis 2004, d’après son site.
Il a inventé une précieuse petite bouteille bleue transparente pour illustrer sa gamme, qui devint bien vite une référence. Dans le commerce le monopole c'est confortable et puis surtout, ça permet de pratiquer ses prix.
Le lubrifiant silicone au prix du Cristal de Roderer pour frotter du latex , miam !
Un jour, Swoop qui Lustre, lui aussi fabricant allemand, se dit qu'il pouvait trouver sa place.
Comme il était observateur et qu'il avait le sens des affaires et que Swip qui Brille roupillait, serein dans son jus; Swoop qui Lustre se rendit dans la même usine de gel de silicone et fit faire sa propre formule, puis il la vendit mais moi chère et plus glamour. Swoop qui Lustre savait qu'il devait aussi séduire les créateurs et les modèles. Il leur envoya alors les produits de sa gamme, avec générosité et créativité.
Swoop qui Lustre avait surtout une arme secrète; une petite lingette rose et noire; un coté pour nettoyer et un coté pour lustrer: magique ! Et dire que personne n'y avait pensé ...
Le succès fut vite au rendez-vous, soirées, publications, modèles on ne vit bientôt plus que Swoop qui Lustre. Et c'est alors que Swip qui Brille commençât à s’inquiéter, alarmé, on le comprend par la baisse de ses rentes.
Il entreprit alors de revoir sa gamme de produits, il fit plusieurs volumes de contenants, comme Swoop, il baissât ses prix, comme Swoop ( qui d'ailleurs les avait déjà augmenté); il créât aussi une jolie lingette lustrante, mais attention, elle a un côté bleu et un côté jaune, ça change tout...
Mais Swip qui Brille était un peu fâcheux, sans doute que la chute de son trône fut plus douloureuse que suspectée. Il s'en prit alors aux modèles qui avaient fait le choix de la concurrence, les vouant à toutes sortes de gémonies et, punition sans pareille; les priver de la grâce de ses "likes" sur leur page ou leur photo. Nul doute que les photographes qui oseraient associer leurs œuvres à Swoop qui lustre subiraient le même sort... Mais qui sait, Swoop qui Lustre pourrait riposter de même? La guerre est ouverte, comment finira-t-elle ? Sans doute avec des taches indélébiles jusqu'au plafond !
Conclusion; le lube c'est chouette mais le latex c'est quand même l'essentiel, et puis il y a du choix en modèles, créateurs, photographes...Vive la diversité !
Nota:
toute ressemblance avec des faits, des personnages réels ou ayant existé n'est peut-être pas une coïncidence.
Nota 2:
je n'ai aucune action ni chez Swip qui Brille, ni chez Swoop qui Lustre; aucun des deux ne m'a jamais rien offert ni même promis, et la concurrence ce n'est pas si mal.
Nota 3:
le silicone c'est un produit chimique assez ordinaire et peu cher, j'envisage la création de ma propre marque et j'ai un nom "Slurp qui Glisse", avec lingette transparente des deux côtés; une révolution.
Nota 4:
La photo qui illustre ce billet est réalisée avec du J-Lube ça brille, ça lustre et ça GLIIIISSSE, ( avec 30 euros on en fait 5 litres).
Google translate.
Swip who Shine versus Swoop who Luster; the war of the lube is open; only one victim, intelligence.
It is the fictionalized and uplifting story of traders in the lube. It shouldn't interest anyone except that it's lube; and for those who don't know what the lube is; it is the natural lubricant of latex. In other words, the lube is a bit like the oil of the fetishist. It makes the latex shine, it allows him to put on the most improbable outfits, he contributes to its maintenance and protection, it increases the pleasure of wearing latex ... In short the must!
It is a niche business but multiplied by the number of fetishists, parties and dressmakers it can quickly become interesting.
Swip who Shine, a "historic" German manufacturer of lube since 2004, has understood this, according to its website.
He invented a precious little transparent blue bottle to illustrate his range, which quickly became a reference. In trade the monopoly is comfortable and above all, it allows you to practice your prices.
The silicone lubricant at the price of Cristal de Roderer to rub latex, yum!
One day, Swoop who Luster, also a German manufacturer, told himself that he could make a lube for latex or leather.
As he was an observer and he had a sense of business and that Swip who Shine was snoozing, serene in his juices; Swoop who Luster went to the same silicone gel factory and had his own formula made, then he sold it but I was expensive and more glamorous. Swoop who Luster knew that he also had to seduce creators and models. He then sent them the products of his range, with generosity and creativity.
Swoop who Luster also had a revolutionary idea; a small pink and black wipe; one side to clean and one side to polish: magic! And to think that nobody had thought of it ...
The success was lived at the rendezvous, parties, publications, models we soon saw more than Swoop which Chandelier. It was then that Swip who Shine began to worry, alarmed, it is understandable by the fall in his pensions.
He then undertook to review his range of products, he made several volumes of containers, like Swoop, he lowered his prices, like Swoop (which moreover had already increased them); he also created a pretty shiny wipe, but beware, it has a blue side and a yellow side, that changes everything ...
But Swip who Shine was a little annoying, no doubt that the fall of his throne was more painful than suspected. He then attacked the models who had chosen to compete, vowing them to all kinds of gémonies and, unparalleled punishment; deprive them of the grace of their "likes" on their page or their photo. No doubt the photographers who would dare to associate their works with Swoop which chandelier would suffer the same fate ... But who knows, Swoop who Luster could retaliate in the same way?
Conclusion; the lube is great but latex is still essential, and then there is a choice in models, creators, photographers ... Long live diversity!
Note:
any resemblance to facts, real or existing characters may not be a coincidence.
Note 2:
I have no action either at Swip who Shine, or at Swoop who Luster; neither of them has ever offered or promised anything to me, and the competition is not that bad.
Note 3:
silicone is a fairly ordinary and inexpensive chemical, I am considering the creation of my own brand Slurp who Slips, with transparent wipe on both sides; a revolution.
Note 4:
The photo that illustrates this post is made with J-Lube it shines, it lusters and it SLIIIPS, (with 30 euros we make 5 liters).
Source: FetishLover
Model: Tamara Kitsune, photographer: Kostya Romantikov, photo session "Toma, it's based on femininity"
Source: RuFishnet
As you can see from the photos, the structure isn't based on fine mortise-and-tenon joinery. I used the poor-man's method of wood glue and a shit-load of screws. I was fine with that, as everything but the legs gets covered with upholstery anyway. And trust me, this baby is strong and rigid. I toyed with the idea of tapering the legs, but if you see the antique versions (1stDibs usually has a great, if expensive, selection) they typically have straight (un-tapered) legs.
For the next step, I just laid the foam over the horse and wrapped it in plastic. I cut a couple of pieces from the foam to cap the ends.
Next up: duct tape. Longtime followers of this blog know that it's my preferred method for generating custom pattern shapes for complex objects.
A couple of layers on, until everything's nice and smooth. Do you notice the lip on the left side of the image below? I thought I'd try something clever there, and make a space for someone to fit their head between the horse and someone straddling the horse. Didn't really work out, so I'd recommend keeping the sides a cleaner, traditional symmetrical shape.
Draw potential seam lines out with a marker.
I was toying with the idea of it wrapping around a bit…
Cut the duct-tape pattern off with scissors. We end up with the main piece…
…and two end-pieces.
I'm sure at some point I traced the duct-tape pattern onto butcher paper to make the pattern. I usually make the pattern symmetrical and perfect the lines. Then it's transferred to the leather.
I ended up using darts even though I wanted to keep it as smooth as possible. This is dictated by the shape you want to make and the thickness/stretchy-ness of the leather.
This leather isn't very stretchy…
Once the end pieces are sewn on and flattened, I pull it over the foam and secure along the edge with upholstery tacks.
It came out pretty nice, and makes me want to do more furniture-type upholstered and padded stuff.
Put some stain on the legs, just to give it some color.
In this shot you can see the ridges in the foam from where it was kept in storage. Over time I expect those to come out…
And finally at least 3 coats of polyurethane to protect the finish. Sanding with fine grit in between. I've been liking the satin finish lately… Do you think I should add some forged iron rings?
Hope you liked the project! Stay tuned, more to come…
Source: A fetish leathercrafters journal
Like this girl. Many beautiful photoshoots around the theme.
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