16 Jun 2023, 06:40
J'avais lu sur cette idée d'auto-bondage et comme le matériel segufix est horriblement cher, j'ai voulu tester l'idée proposée par le gîte fétichiste pendant mes vacances.
.............[pièce jointe=59595]
Comme Marc est très sympathique avec ses clients, je lui ai demandé de venir m'aider pour les réglages en précisant que je voulais réaliser un fantasme et l'essayer toute une nuit. Sa réponse fut, avec un grand sourire coquin, "avec plaisir".
Nous sommes entrés dans la pièce secrète où il m'a immédiatement remis le trousseau de clés avec le cordon dépendant X clés de cadenas, dont celle d'une paire de menottes en acier. Il m'a ensuite prêté un slip en plastique et une barboteuse pour que je n'aie pas froid.
Il m'a alors conseillé d'acheter un lot de 3 canapés ou d'aller à la pharmacie et d'acheter un pack pour éviter une catastrophe dans le lit de la chambre LOVE. N'étant pas ABDL, j'ai accepté sa demande car je n'en avais pas.
Quand nous sommes arrivés au cachot, il m'a dit qu'il laisserait les canapés au bar avant de me proposer de m'allonger sur le lit de la chambre LOVE. Invitée à écarter les bras et les jambes, je le laissai retenir mes chevilles, mes jambes et un seul de mes poignets. Oui, il y avait quelques ajustements à faire. Je n'étais pas trop gêné cependant, car je portais un jean et un T-shirt.
Et puis, moment le plus gênant de tous, il m'a demandé si je préférais un verre de rosé ou un verre de rouge, et quels accessoires j'avais prévu ou envie d'essayer en plus !
- Qu'allez-vous ajouter pour votre plaisir ? Une fiche ? Un vibromasseur entre la culotte en plastique et la couche ? Une cage de chasteté ? Un bonnet isolant pour aller encore plus haut ?
HEU... qu'est-ce que je peux dire à ça sans me dévoiler ? Je devais être aussi rouge qu'une tomate trop mûre laissée dans le champ au milieu d'une canicule d'août. Toujours aussi zen, il a attendu ma réponse avant de continuer à me conseiller.
Je lui ai dit que j'hésitais pour le plug mais que j'aimais bien la cagoule et l'idée d'un vibromasseur entre la culotte en plastique et la couche.
ET PUIS ce pervers m'a proposé d'ajouter une minuterie au vibromasseur pour que je puisse varier le plaisir en l'allumant et en l'éteignant. N'osant pas parler par timidité, j'ai simplement hoché la tête "oui". "J'obtiendrai ce dont j'ai besoin" fut sa réponse, me laissant seul avec mon embarras de compagnon d'infortune...
Deux minutes plus tard, il connecta la minuterie à la rallonge du lit dans la chambre LOVE, suivi du masseur Magic wand. "Il suffit de l'allumer, de choisir le type de vibration que l'on veut et de le verrouiller entre la culotte en plastique et la couche", m'a dit Marc, comme s'il me parlait d'une recette...
En fait, il n'a rien à voir avec nos petits secrets ou nos envies, il ne juge rien, tout lui semble naturel. C'est surprenant au début du voyage!
- Pour l'ICE-timer, si vous voulez vraiment tester toute la nuit, je vous conseille de mettre les clés dans un grand tupperware sans bloquer la ficelle que vous devrez attacher aux menottes. Si tu oublies ce détail, sans le string tu seras coincé jusqu'à midi, quand, si je ne t'ai pas vu, je viendrai vérifier que tout va bien !
Ne voulant pas être vu enchaîné dans une mauvaise position, je ne risquerais pas d'oublier ! !
Après son départ, je suis allé me promener à Morata de Jalon puis une petite randonnée le long du Jalon. J'ai finalement dépassé la zone d'escalade où j'ai pu voir, MDR une dizaine de passionnés de bondage en hauteur. Arrivé au gîte, après une bonne douche je suis allé à la piscine pour bronzer après un bon bain. J'avais tellement envie d'essayer cet auto-bondage que j'ai mangé très tôt avant de récupérer l'ICE-timer de mon congélateur.
When I got to the dungeon, I realised that he'd applied 3 layers as indicated, one would be enough but having 2 in advance just in case isn't a bad idea after all. After getting naked, I had a bit of trouble putting on my nappy as I'm not used to wearing them. Then I quickly put on the plastic panties and the romper.
Excited as hell, I had to partially undress to put a little plug in my bottom. I'd never tried it all night, so the idea of not being able to take it out when I didn't feel like it any more appealed to me. Finally ready and 'fulfilled', I made sure that the string from the ICE-timer was connected to the handcuffs before lying down on the bed with the BDSM bonnet and an open-mouthed gag.
After shackling my bottom, ankles and thighs, I put the gag and then the Magic Wand vibrator on between the plastic panties and my nappy. Hummmm! I closed the romper before putting on the bonnet, which I pulled on tightly. I can't hide the fact that in the nappy, my noodle certainly looked like an outraged cucumber! Blindfolded, I shackled my left wrist before handcuffing myself, as Marc had instructed.
I barely heard the clicks, clicks, clicks, but that moment was my destiny as a slightly mad rascal. My first instinct was to test the restraints. They did indeed hold and my movements were very limited. Except that it's always at times like these that your nose or another part of your anatomy itches. Let's skip this inconvenience.
The vibrator stopped just as my excitement was building. GRRR. In my mind, a very stern Mistress had decided to punish and humiliate me by forcing me to go down on myself. What's more, this sadistic woman had put a plug in my bum which, I must admit, feels really good when you move it.
When the vribro started up again, I was scared! That moment of surprise made me realise how vulnerable and dependent I was on 'my imaginary Mistress'. Wiggling your bottom while the vibrator titillates your front is all very well, except that with the restraints on, movement is very limited. Just as I was starting to get into the swing of things, this bastard stopped, as if he wanted to play on my frustration. I had to wait 15 minutes before I could wiggle my arse again. Yes, but 15 minutes without manual stimulation doesn't lead to an orgasm.
Frustrating! Horribly frustrating! I wanted to play and I couldn't leave the gaming table, or rather, the bed in the LOVE room, which had become a bit like the wheel of the inquisition without the horrible pain. Or so I thought....
While an open-mouth gag makes it safer to breathe and in the event of vomiting or a coughing fit, it's really impossible to spit it out. It's a 'faithful' piece of crap, and after a while it hurts your jaw muscles. I discovered this in the middle of the night, at least I think I did, because when I pulled on the string to get the handcuff keys, the ice cube still felt heavy.
What happened next? Then the alternating vibrations of the vibrator allow you to start falling asleep before waking up. As a great sadist, Marc hadn't warned me or asked me how long I wanted to 'vibrate'. As he wasn't stingy with electricity, the bastard hadn't switched it off, so I vibrated for 15 minutes every 15 minutes until the next day!
On top of that, although I can get through the night without going to the toilet, with the magic wand massager practically on my bladder, it's hard to resist. Despite a fierce battle against the rebellion of "Mrs Capricious Bladder", I had no choice but to give in "a little". A little is what you think, because once you've started to relieve the rebellious bladder, it refuses to stop. While this is very annoying, it's not as unpleasant as all that.... during the vibrations. It's a good thing the protectors 'drink', or absorb, I'm sorry, because spending the night soaking wet wouldn't have been much fun.
If the night was finally hellish because of the gag that gave pain (which lasts the next morning when the jaws start working again) this selfbondage generated in my head a nightmare and then crazy erotic dreams. In fact, if it's impossible to sleep with the vibrator waking you up every 15 minutes, you end up dozing off during the cuts.
The morning sensations were original and embarrassing for the shy man that I am! Let me explain my shame. The ice cube had given me back the keys and thus freed me. To get from the LOVE room to the gîte, you have to walk past the swimming pool. I did this with the plug 'pushing' the nappy, hanging between my legs in the plastic panties, and then the romper.
ET PUIS je me suis retrouvé nez à nez avec Marc, qui était venu nettoyer la piscine ! Qu'il suffise de dire que je me suis presque énervé de honte et que j'ai expulsé le bouchon. Heureusement, il a juste dit bonjour et n'a pas essayé de discuter, probablement parce qu'il n'était pas motivé pour démarrer une discussion par mon regard.
Après m'être enfermé dans mon gîte, j'ai enfin pu me libérer de tout ce que je portais et prendre une douche salutaire. Après un peu de libre-service, une matinée gracieuse m'était réservée.
Fin
Si Marc existe vraiment
Si la chambre d'hôte fétiche existe vraiment
S'il est possible de vivre ce type d'aventure au Gîte Fetichistes
Cette histoire est complètement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu'il est possible de vivre au gîte fétichistes.
Visitez le site du Gîte Fetichistes en cliquant ICI
https://gitefetichistes.com/
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Comme Marc est très sympathique avec ses clients, je lui ai demandé de venir m'aider pour les réglages en précisant que je voulais réaliser un fantasme et l'essayer toute une nuit. Sa réponse fut, avec un grand sourire coquin, "avec plaisir".
Nous sommes entrés dans la pièce secrète où il m'a immédiatement remis le trousseau de clés avec le cordon dépendant X clés de cadenas, dont celle d'une paire de menottes en acier. Il m'a ensuite prêté un slip en plastique et une barboteuse pour que je n'aie pas froid.
Il m'a alors conseillé d'acheter un lot de 3 canapés ou d'aller à la pharmacie et d'acheter un pack pour éviter une catastrophe dans le lit de la chambre LOVE. N'étant pas ABDL, j'ai accepté sa demande car je n'en avais pas.
Quand nous sommes arrivés au cachot, il m'a dit qu'il laisserait les canapés au bar avant de me proposer de m'allonger sur le lit de la chambre LOVE. Invitée à écarter les bras et les jambes, je le laissai retenir mes chevilles, mes jambes et un seul de mes poignets. Oui, il y avait quelques ajustements à faire. Je n'étais pas trop gêné cependant, car je portais un jean et un T-shirt.
Et puis, moment le plus gênant de tous, il m'a demandé si je préférais un verre de rosé ou un verre de rouge, et quels accessoires j'avais prévu ou envie d'essayer en plus !
- Qu'allez-vous ajouter pour votre plaisir ? Une fiche ? Un vibromasseur entre la culotte en plastique et la couche ? Une cage de chasteté ? Un bonnet isolant pour aller encore plus haut ?
HEU... qu'est-ce que je peux dire à ça sans me dévoiler ? Je devais être aussi rouge qu'une tomate trop mûre laissée dans le champ au milieu d'une canicule d'août. Toujours aussi zen, il a attendu ma réponse avant de continuer à me conseiller.
Je lui ai dit que j'hésitais pour le plug mais que j'aimais bien la cagoule et l'idée d'un vibromasseur entre la culotte en plastique et la couche.
ET PUIS ce pervers m'a proposé d'ajouter une minuterie au vibromasseur pour que je puisse varier le plaisir en l'allumant et en l'éteignant. N'osant pas parler par timidité, j'ai simplement hoché la tête "oui". "J'obtiendrai ce dont j'ai besoin" fut sa réponse, me laissant seul avec mon embarras de compagnon d'infortune...
Deux minutes plus tard, il connecta la minuterie à la rallonge du lit dans la chambre LOVE, suivi du masseur Magic wand. "Il suffit de l'allumer, de choisir le type de vibration que l'on veut et de le verrouiller entre la culotte en plastique et la couche", m'a dit Marc, comme s'il me parlait d'une recette...
En fait, il n'a rien à voir avec nos petits secrets ou nos envies, il ne juge rien, tout lui semble naturel. C'est surprenant au début du voyage!
- Pour l'ICE-timer, si vous voulez vraiment tester toute la nuit, je vous conseille de mettre les clés dans un grand tupperware sans bloquer la ficelle que vous devrez attacher aux menottes. Si tu oublies ce détail, sans le string tu seras coincé jusqu'à midi, quand, si je ne t'ai pas vu, je viendrai vérifier que tout va bien !
Ne voulant pas être vu enchaîné dans une mauvaise position, je ne risquerais pas d'oublier ! !
Après son départ, je suis allé me promener à Morata de Jalon puis une petite randonnée le long du Jalon. J'ai finalement dépassé la zone d'escalade où j'ai pu voir, MDR une dizaine de passionnés de bondage en hauteur. Arrivé au gîte, après une bonne douche je suis allé à la piscine pour bronzer après un bon bain. J'avais tellement envie d'essayer cet auto-bondage que j'ai mangé très tôt avant de récupérer l'ICE-timer de mon congélateur.
When I got to the dungeon, I realised that he'd applied 3 layers as indicated, one would be enough but having 2 in advance just in case isn't a bad idea after all. After getting naked, I had a bit of trouble putting on my nappy as I'm not used to wearing them. Then I quickly put on the plastic panties and the romper.
Excited as hell, I had to partially undress to put a little plug in my bottom. I'd never tried it all night, so the idea of not being able to take it out when I didn't feel like it any more appealed to me. Finally ready and 'fulfilled', I made sure that the string from the ICE-timer was connected to the handcuffs before lying down on the bed with the BDSM bonnet and an open-mouthed gag.
After shackling my bottom, ankles and thighs, I put the gag and then the Magic Wand vibrator on between the plastic panties and my nappy. Hummmm! I closed the romper before putting on the bonnet, which I pulled on tightly. I can't hide the fact that in the nappy, my noodle certainly looked like an outraged cucumber! Blindfolded, I shackled my left wrist before handcuffing myself, as Marc had instructed.
I barely heard the clicks, clicks, clicks, but that moment was my destiny as a slightly mad rascal. My first instinct was to test the restraints. They did indeed hold and my movements were very limited. Except that it's always at times like these that your nose or another part of your anatomy itches. Let's skip this inconvenience.
The vibrator stopped just as my excitement was building. GRRR. In my mind, a very stern Mistress had decided to punish and humiliate me by forcing me to go down on myself. What's more, this sadistic woman had put a plug in my bum which, I must admit, feels really good when you move it.
When the vribro started up again, I was scared! That moment of surprise made me realise how vulnerable and dependent I was on 'my imaginary Mistress'. Wiggling your bottom while the vibrator titillates your front is all very well, except that with the restraints on, movement is very limited. Just as I was starting to get into the swing of things, this bastard stopped, as if he wanted to play on my frustration. I had to wait 15 minutes before I could wiggle my arse again. Yes, but 15 minutes without manual stimulation doesn't lead to an orgasm.
Frustrating! Horribly frustrating! I wanted to play and I couldn't leave the gaming table, or rather, the bed in the LOVE room, which had become a bit like the wheel of the inquisition without the horrible pain. Or so I thought....
While an open-mouth gag makes it safer to breathe and in the event of vomiting or a coughing fit, it's really impossible to spit it out. It's a 'faithful' piece of crap, and after a while it hurts your jaw muscles. I discovered this in the middle of the night, at least I think I did, because when I pulled on the string to get the handcuff keys, the ice cube still felt heavy.
What happened next? Then the alternating vibrations of the vibrator allow you to start falling asleep before waking up. As a great sadist, Marc hadn't warned me or asked me how long I wanted to 'vibrate'. As he wasn't stingy with electricity, the bastard hadn't switched it off, so I vibrated for 15 minutes every 15 minutes until the next day!
On top of that, although I can get through the night without going to the toilet, with the magic wand massager practically on my bladder, it's hard to resist. Despite a fierce battle against the rebellion of "Mrs Capricious Bladder", I had no choice but to give in "a little". A little is what you think, because once you've started to relieve the rebellious bladder, it refuses to stop. While this is very annoying, it's not as unpleasant as all that.... during the vibrations. It's a good thing the protectors 'drink', or absorb, I'm sorry, because spending the night soaking wet wouldn't have been much fun.
If the night was finally hellish because of the gag that gave pain (which lasts the next morning when the jaws start working again) this selfbondage generated in my head a nightmare and then crazy erotic dreams. In fact, if it's impossible to sleep with the vibrator waking you up every 15 minutes, you end up dozing off during the cuts.
The morning sensations were original and embarrassing for the shy man that I am! Let me explain my shame. The ice cube had given me back the keys and thus freed me. To get from the LOVE room to the gîte, you have to walk past the swimming pool. I did this with the plug 'pushing' the nappy, hanging between my legs in the plastic panties, and then the romper.
ET PUIS je me suis retrouvé nez à nez avec Marc, qui était venu nettoyer la piscine ! Qu'il suffise de dire que je me suis presque énervé de honte et que j'ai expulsé le bouchon. Heureusement, il a juste dit bonjour et n'a pas essayé de discuter, probablement parce qu'il n'était pas motivé pour démarrer une discussion par mon regard.
Après m'être enfermé dans mon gîte, j'ai enfin pu me libérer de tout ce que je portais et prendre une douche salutaire. Après un peu de libre-service, une matinée gracieuse m'était réservée.
Fin
Si Marc existe vraiment
Si la chambre d'hôte fétiche existe vraiment
S'il est possible de vivre ce type d'aventure au Gîte Fetichistes
Cette histoire est complètement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu'il est possible de vivre au gîte fétichistes.
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